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S’il y a bien un projet littéraire dans lequel il est facile de se perdre, c’est celui d’écrire un roman de science-fiction. Un exercice difficile, subtil et explosif qui mélange science, imaginaire et structure narrative. Autant d’éléments qui peuvent sembler incompatibles et qui, pourtant, permettent de réaliser le cocktail parfait pour nous émerveiller ET nous faire réfléchir.
Mais pour réussir ce cocktail, il faut tout d’abord en connaître la recette.
Le but de cet article est de vous donner les clés pour comprendre et assimiler les règles de la Science-Fiction. Parce qu’écrire un roman de SF, comme n’importe quel autre genre de roman, s’inscrit dans une longue tradition de codes posés par nos illustres prédécesseurs.
Des codes qui sont attendus de pied ferme par les lecteurs et qui vous vaudront des critiques cinglantes si vous passez à côté.
Cet article pour écrire un roman de science-fiction clôt le dossier sur les codes de genre après la romance, les polars, thrillers et fantasy.
Oui, parce que je vous préviens, je suis un peu chatouilleux sur le sujet. Alors si vous répondez à cette question avec une réponse toute faite du style : « C’est quand il y a des robots et que ça se passe dans l’espace, comme Star Wars… »
Je vous préviens.
On ne va pas rester des potes très longtemps.
Pour définir la science-fiction, je reprendrai l’allégorie du chat développé par le site Le culte d’Apophis que vous retrouverez dans l’article sur les 40 genres de l’imaginaire.
Imaginez un chat qui parle…
… si votre chat parle dans un monde où les chats se contentent généralement de miauler en grattant à la porte de votre chambre à 2 h du matin, alors votre chat sera considéré comme une anomalie : c’est du Fantastique.
… si votre chat parle dans un monde où tous les chats parlent, deviennent invisibles et sont potes avec des chenilles fumeuses de Narguilé : c’est de la Fantasy.
… si votre chat parle parce que vous lui avez ouvert le crâne pour lui greffer la carte son de votre PC : c’est de la Science-Fiction.
En d’autres termes, un roman de Science-fiction est un récit dans lequel les faits étranges, inhabituels ou surnaturels trouvent une explication basée sur une argumentation scientifique… que cette argumentation soit vraie ou fausse n’a aucune espèce d’importance.
Partant de là, on peut très raisonnablement affirmer que « Jurassic Park » de Michael Crichton tient plus de la Science-fiction que « Star Wars » malgré l’absence totale de robots ou de vaisseaux spatiaux.
Et on peut d’ores et déjà pointer du doigt un aspect absolument incontournable de la SF : elle doit comporter une explication scientifique ou pseudoscientifique.
Deuxième particularité de la Science-Fiction : elle est spéculative. C’est-à-dire qu’elle imagine souvent les conséquences de progrès scientifiques, technologiques ou sociaux sur l’humanité. Elle pose, en substance, la question préférée des écrivains : « Et si… ? »
Et si l’intelligence artificielle décidait de nous mettre au chômage ?
Et si la Terre devenait inhabitable ?
Et si l’algorithme de TikTok transformait nos enfants en zombies ?
Et si ma belle-mère arrêtait de m’offrir de l’après-rasage pour Noël ?
Des trucs de dingue, quoi !
Cette spéculation n’est pas une obligation. Certains ouvrages de SF n’en font pas (les space operas notamment).
Mais c’est cette dimension spéculative qui distingue la SF des autres genres. Les définitions varient, mais elles tournent toutes autour de cette idée : on part du réel, on l’extrapole, et on observe ce que ça fait aux personnages.
Vous n’êtes pas obligé de coller une étiquette précise sur votre projet, mais connaître les grandes familles aide à comprendre les attentes des lecteurs :
Votre roman pourra mélanger plusieurs tonalités. L’important, pour un débutant, n’est pas de trouver l’étiquette parfaite, mais de comprendre que chaque sous-genre porte des attentes de décor, de ton et de conflit.
Pour une vue d’ensemble des bases communes à tous les romans, je vous recommande l’article « Les 16 étapes pour écrire un roman » : il vous donnera le squelette global sur lequel viendra se greffer votre univers de SF.
Quand un lecteur de Science-Fiction ouvre un roman de son genre fétiche, il s’attend à y trouver un certain nombre d’éléments.
Pas forcément tous.
Pas forcément de la même façon (et c’est là qu’il faut chercher l’originalité).
Mais il les veut, et si vous ne les lui donnez pas, il sera déçu.
Alors voilà une liste des plus importants :
En SF plus qu’ailleurs, le thème est central.
Pour rappel, le thème de votre roman est le message que vous voulez faire passer à votre lecteur au travers de votre histoire.
Le message est plus ou moins visible, plus ou moins subtil, mais il est toujours présent.
Une bonne histoire de SF peut souvent se résumer en une phrase :
C’est ce qu’Orson Scott Card appelle les histoires basées sur l’« idée » : le récit commence par une question et se termine lorsqu’on a exploré cette question.
Si vous débutez, écrire un roman de science-fiction commence souvent par trouver une idée simple mais fertile, puis par vous demander : « Quelles seraient les conséquences concrètes, pour une personne ordinaire, si cette idée devenait réalité ? »
L’article « 7 sources d’inspiration pour trouver l’idée de votre roman » peut vous aider à générer ou affiner cette fameuse question de départ.
C’est un point commun que la Science-Fiction partage avec la Fantasy : le lecteur s’attend à être émerveillé.
S’il veut qu’on lui rappelle la bassesse et la noirceur de l’âme humaine, il lira un Franck Thilliez.
En revanche, s’il ouvre un roman de SF, il voudra découvrir de nouveaux mondes, de nouveaux concepts ou des révélations sur de grandes questions existentielles.
N’en mettez pas non plus à toutes les pages. Le merveilleux, c’est comme le curry. Un peu c’est délicieux, mais trop ça fait passer la nuit sur les toilettes.
Réservez-le à des moments clés : une ouverture marquante, une grande scène de dévoilement, un final qui laisse le lecteur songeur.
Comme je l’expliquais en intro, et contrairement à la Fantasy où la magie peut rester mystérieuse, la SF repose sur des éléments qui donnent l’impression d’être logiques.
Pas la peine d’être ingénieur chez SpaceX, mais il faut que ça tienne debout quand même.
C’est la raison pour laquelle je vous recommande très chaudement de définir les règles de votre univers AVANT de commencer à écrire votre récit… et de les respecter du début jusqu’à la fin.
Parce que ne croyez pas que vos éventuelles tricheries passeront inaperçues aux yeux d’un lecteur chevronné. Rien ne leur échappe et ils sont sans pitié pour les tricheurs !
L’un des principaux pièges lorsqu’on écrit de la SF, c’est de tomber dans le puits sans fond du Worldbuilding. Il est très tentant de se mettre à inventer des mondes totalement imaginaires avec des écosystèmes entiers, des hiérarchies sociales, des systèmes économiques complexes, des technologies révolutionnaires, etc.
… sauf que ce n’est pas ce qu’on vous demande.
On ne vous demande pas d’écrire le guide touristique détaillé d’un monde dans lequel on ne mettra jamais les pieds.
On vous demande d’écrire une histoire qui se déroule dans un monde imaginaire.
C’est un point vital pour votre roman : votre monde imaginaire doit rester au service de votre histoire et non l’inverse.
Et pour cela, votre monde n’a pas besoin d’être vaste, mais il doit être solide.
Voici les cinq piliers qui suffisent largement pour construire un décor crédible, riche, mais gérable.
La technologie ne doit pas être un catalogue de gadgets, mais un agent de transformation du quotidien.
On se fout de savoir si les voitures volent ou si le café est chauffé avec un laser. Vous pouvez en parler sur une ligne, mais pas plus. Ce ne sont que des éléments de décor.
Ce qui compte, c’est l’impact sur les personnages au quotidien.
Posez-vous 3 questions simples :
Exemple : « Demain les chiens » de Clifford Simak
NDA Ce roman est peut-être l’un des meilleurs romans de SF jamais écrits. Lisez-le si ce n’est pas déjà fait (oui, c’est un ordre).
Dans une partie du récit (qui s’étale sur plusieurs millénaires), le transport est devenu si rapide et si simple que les gens n’ont plus besoin d’être à proximité de leurs besoins quotidiens (épicerie, école, etc.).
Par conséquent, la grande majorité s’installe sur de très larges terrains ruraux. Les villes se vident de leurs habitants et les zones pavillonnaires deviennent des déserts à l’abandon.
Dans ce cas précis, les voitures volantes ne sont plus des éléments de décor, mais un facteur de changement avec un impact fort sur l’humanité.
Conseil pratique : Choisissez 1 ou 2 technologies majeures. Tout le reste doit naturellement en découler. Vous évitez ainsi la surcharge… et les incohérences fatales (« mais si la téléportation existe, pourquoi font-ils 8 ans de voyage ? »).
Une société de Science-Fiction est souvent plus intéressante que ses vaisseaux spatiaux.
Encore une fois, ce qui nous intéresse c’est l’impact sur l’humanité, pas les jolies lumières sur le tableau de bord du vaisseau spatial.
Mais cet impact n’est pas forcément technologique. Il peut être sociétal, un concept très fréquent dans les dystopies (« Un monde meilleur », « 1984 », etc.).
Demandez-vous :
Exemple : Bienvenue à Gattaca
Dans une société obsédée par la perfection génétique se développe une forme de discrimination institutionnalisée par rapport aux individus nés « naturellement ». Ici encore, on part d’UNE innovation technologique qui impacte le fonctionnement de la société et place le protagoniste dans un conflit narratif instantané.
Méthode simple : Imaginez que vous suivez une journée ordinaire d’un habitant lambda.
Comment se déplace-t-il ? Comment est-il surveillé ? Quelle ressource manque ? Ce petit exercice rend votre monde plus vivant que dix pages d’encyclopédie.
L’histoire humaine est similaire à la fiction sur un point : les grands événements sont issus d’éléments déclencheurs.
Que ce soit l’assassinat d’un archiduc ou l’invention d’une machine, les grands changements de notre histoire ont souvent été déclenchés par une étincelle qui a mis le feu au reste.
Votre monde de SF doit suivre cette règle. Vous n’avez pas besoin d’une encyclopédie historique millénaire, mais d’un événement fondateur, celui qui explique pourquoi le monde est ce qu’il est.
Dans « Hunger Games », l’instauration des jeux de la faim a démarré avec une tentative avortée de révolution.
Dans « 1984 », c’est la guerre permanente qui justifie le totalitarisme.
Dans « Terminator », c’est l’avènement de l’IA.
Une cause. Une conséquence.
Conseil : Trouvez 1 événement majeur du passé, pas 20. Cet événement agit comme une colonne vertébrale d’où découlera tout le reste.
L’environnement physique de votre récit peut prendre plus de place que celle d’un simple décor. Il peut devenir un acteur dramatique, l’antagoniste de votre récit.
Nous sommes alors dans un thème littéraire qui peut être décliné à toutes les sauces, celui de la survie.
Dans « Seul au monde », Tom Hanks doit survivre seul sur une île déserte perdue au milieu du Pacifique.
Dans « Seul sur Mars », Matt Damon doit survivre seul sur une planète éloignée à des millions d’années-lumière de la terre.
Le premier est un drame, le deuxième de la SF. La différence est le décor, mais le point commun est le suivant : l’antagoniste est l’environnement du récit. L’île ou la planète, même combat.
Définissez ce que votre décor interdit, oblige ou met en danger.
Écrire un roman de Science-Fiction peut être perçu comme plus contraignant qu’un roman de Fantasy, car la magie n’a pas besoin d’être justifiée ou expliquée (même si ce point est très discutable).
Cependant, ces contraintes ont leurs bons côtés, car elles donnent du réalisme aux choses, mais surtout… elles sont une source intarissable de conflit.
Or, le conflit est le carburant d’un bon roman. Comme je le dis souvent : « Un roman sans conflit, c’est comme une pizza sans fromage. Cela n’a aucun intérêt. »
Un personnage dans un monde mourant devra se battre pour trouver de quoi se nourrir.
Un vaisseau spatial a besoin d’énergie pour avancer.
Un fusil, même futuriste, a besoin de munition.
Etc.
Sans limites, la SF devient de la magie. Alors, demandez-vous :
Astuce experte : Dans chaque scène, rappelez une contrainte. Cela crée une impression de réalité stable, même si votre univers est farfelu.
Vous voulez en savoir plus sur le worldbuilding ? Lisez l’article « Worldbuilding : l’outil magique pour créer un monde imaginaire.«
Dans la plupart des récits de science-fiction, même les plus expérimentaux, on retrouve quelques moments clés qui structurent la progression dramatique. Ce ne sont pas des obligations stylistiques ni des cases à cocher ; ce sont plutôt des rites de passage narratifs, des scènes qui permettent au lecteur d’entrer dans votre univers, d’en comprendre les règles, puis d’en éprouver les limites.
Ce sont des jalons qui rassurent autant qu’ils émerveillent, car ils créent ce fameux mélange de découvertes et de tension que les lecteurs viennent chercher lorsqu’ils ouvrent un roman de science-fiction.
Souvent appelée “premier contact” même lorsqu’on ne rencontre rien qui soit pourvu de tentacules.
C’est le moment où votre héros — et donc votre lecteur — se trouve confronté pour la première fois à l’élément science fictionnelle centrale de l’histoire.
Cela peut être un artefact mystérieux, une technologie inattendue, une IA trop bavarde pour être innocente, une loi dystopique qui se révèle soudain brutale, ou encore un monde totalement nouveau.
Ce qui compte ici n’est pas la quantité d’informations que vous donnez, mais l’émotion que vous faites naître. La découverte du vaisseau abandonné dans Alien, par exemple, est glaçante parce qu’elle est sensorielle : sons étouffés, silhouettes étranges, silence pesant, architecture impossible.
De même, le moment où Cooper se retrouve dans la bibliothèque en cinq dimensions dans Interstellar touche autant par son étrangeté que par son lien personnel avec sa fille.
C’est ce que vous devrez viser : non pas une explication, mais une atmosphère. Si vous commencez à expliquer “comment fonctionne” votre technologie dès cette scène, vous tuez la magie. Laissez votre lecteur ressentir avant de comprendre.
C’est le moment où vous montrez à votre lecteur ce que votre élément de SF est capable de faire, mais aussi ce qu’il est incapable de faire — et ces deux dimensions sont essentielles.
Dans Blade Runner, voir les androïdes en action ne sert pas à faire briller les yeux avec de la technique, mais à révéler leur quasi-humanité et les questions morales qu’elle soulève.
Dans Le vieil homme et la guerre, l’ascenseur spatial (appelé « tige de haricot ») n’est pas un détail décoratif : sa mise en œuvre permet d’illustrer les enjeux politiques et économiques de tout un système colonialiste.
Ces moments servent à poser les règles du jeu, non par un discours, mais par l’action.
Un bon conseil : trouvez une manière de montrer la technologie dans une situation où son fonctionnement a des conséquences directes sur le personnage principal. C’est la meilleure façon d’éviter l’infodump et de construire la crédibilité du monde par le vécu.
Quelque chose se brise — littéralement ou symboliquement.
C’est un moment fondamental de la dramaturgie en science-fiction, car c’est le point où votre univers cesse d’être un décor pour devenir un antagoniste, ou au contraire où les illusions volent en éclats.
Dans un épisode de Black Mirror, la technologie fonctionne d’abord avec enthousiasme… jusqu’à la minute où elle révèle sa nature destructrice.
Dans Jurassic Park, tout bascule lors de la panne d’électricité : ce qui était un parc de loisirs devient un piège mortel, et le principe même de “ramener les dinosaures à la vie” dévoile sa folie intrinsèque.
Cette scène est votre moment privilégié pour rappeler au lecteur que toute invention, toute société futuriste, aussi brillante soit-elle, comporte un coût.
Pour la construire efficacement, demandez-vous : “Qu’est-ce que mon héros croyait vrai jusqu’ici, et qu’est-ce qui vient soudain prouver qu’il avait tort ?”
C’est le moment où le personnage doit prendre une décision qui résume le propos de votre roman. Ce n’est pas seulement une scène d’action : c’est une scène de sens.
La science-fiction excelle dans les dilemmes impossibles parce qu’elle place les personnages dans des contextes extrêmes, qui soulignent leurs contradictions internes.
Dans Her, Theodore doit accepter que l’IA qu’il aime le dépasse complètement : le climax n’est pas un combat, mais la confrontation intime avec l’abandon.
Dans Gattaca, le choix de Vincent de poursuivre son rêve ou de se conformer à un système injuste cristallise la question centrale du roman : qu’est-ce qui définit la valeur d’un être humain ?
Un climax de science-fiction réussi doit résoudre la question spéculative que vous avez posée au début du récit. Si votre roman interroge la mémoire, l’identité, le libre arbitre ou la place de l’humain dans un monde technologique, la décision finale doit être un miroir de cette interrogation.
Il existe un mythe tenace : celui selon lequel il faudrait être un petit génie scientifique pour prétendre écrire un roman de science-fiction.
Permettez-moi de vous rassurer : les diplômes en astrophysique ne sont pas des prérequis pour les auteurs de SF.
Non seulement vous n’avez pas besoin d’être bon en sciences pour écrire un roman de science-fiction, mais les plus grands chefs-d’œuvre du genre ont été écrits par des auteurs qui s’intéressaient davantage aux émotions humaines qu’aux lois de Newton.
Bien sûr, certains récits s’appuient sur une base scientifique rigoureuse. Il suffit d’avoir lu « Le problème à 3 corps » pour comprendre que l’auteur a un solide bagage scientifique (… et que le lecteur ferait mieux d’en voir un également).
Mais ce n’est qu’une branche du genre. À l’autre extrémité du spectre, vous trouverez des œuvres profondément poétiques comme Solaris, des récits ouvertement fantaisistes comme Le vieil homme et la guerre, ou encore des films comme Arrival, où la linguistique prime largement sur la technologie.
Autrement dit, la science-fiction n’est pas un concours du plus gros cerveau : c’est un terrain de jeu pour l’imagination, un laboratoire où l’on teste des idées, des peurs, des espoirs et des contradictions humaines.
L’essentiel, et ce quel que soit le genre, c’est de nous faire vivre votre récit au travers de vos personnages. Si votre innovation transforme leur routine, leur liberté, leur famille, leurs choix ou leur rapport au monde, alors elle fait déjà parfaitement son travail narratif.
Et puisque cet article touche à sa fin, je vous propose un petit exercice : quelles sont les œuvres de science-fiction qui vous ont inspiré, ému, surpris ou bouleversé ? Celles qui vous ont donné envie, justement, d’écrire votre propre roman ?
Partagez-les en commentaire, cela aidera d’autres auteurs débutants à découvrir les multiples visages du genre — et cela pourrait bien lancer votre propre voyage d’écriture.
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