Préparer le premier jet de son roman

Comment préparer le premier jet de son roman
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Se lancer dans l’écriture du premier jet de son roman sans la moindre préparation est sans doute la plus grosse erreur qu’un auteur débutant puisse faire. Ceci étant dit, je ne fais pas l’apologie des architectes aux dépens des jardiniers. Un plan ne signifie pas réaliser la description précise, chapitre par chapitre et scène par scène, de tout votre roman. Chacun a sa propre approche de l’écriture et de la préparation de son roman.

Pour l’écriture d’un roman comme pour sa vente, il n’existe pas de formule magique qui fonctionne pour tous. C’est la raison pour laquelle cet article n’a pas vocation à être un guide ou une bible de la préparation du premier jet d’un roman, mais un inventaire des meilleurs conseils et astuces pour vous permettre de couler des fondations solides avant de plonger dans l’écriture.

Le but de cet inventaire ? Vous éviter, autant que possible, de trop nombreuses réécritures de tout ou partie de votre roman pour gommer des erreurs grossières que vous auriez pu facilement éviter.

Vous avez votre masque et votre tuba ? Alors, plongeons !

Plongeon préparation roman
Image par Michal Jarmoluk de Pixabay

1 — Choisir une méthode de préparation qui vous convient

Avant de mettre la tête sous l’eau et de boire la tasse sous le déferlement de détails dans votre roman, vous devez choisir la méthode qui convient à votre façon de travailler.

Comme je l’ai déjà dit, il n’existe pas UNE méthode qui fonctionne pour tout le monde pour préparer le premier jet d’un roman. Le processus est spécifique à l’auteur ET à l’histoire qu’il écrit. Un même auteur pourra choisir une méthode différente d’un roman à un autre. Certains font des listes à puce, certains font des mindmaps, certains dessinent les personnages et créatures de leurs romans, etc.

En voici deux qui fonctionnent pour beaucoup d’auteurs.

(Lisez l’article : « Écrire un roman avec le mindmapping »)

La méthode flocon

Imaginez un flocon de neige. Il part d’un point central, puis ses ramifications s’étendent dans tous les sens pour devenir une sculpture unique. C’est à cela que la préparation de votre premier jet ressemblera si vous utilisez cette méthode.

Vous commencez avec une seule phrase qui résume toute votre intrigue, puis vous rattachez vos personnages à cette phrase, puis vos lieux, puis d’autres détails, etc.

C’est un processus qui n’est pas linéaire, et il ne faut pas hésiter à revenir sur des éléments entamés plus tôt dans votre préparation. Par exemple, vous commencez avec un personnage, puis vous passez au worldbuilding avant de revenir au personnage quand cela vous inspire. Le processus créatif de l’esprit humain est anarchique, il ne faut donc pas hésiter à l’être à cette étape. Le développement d’un élément peut générer de nouvelles idées sur un autre élément.

Pour que cette méthode fonctionne, il ne faut surtout pas chercher à suivre un ordre chronologique ou découper votre roman en phase. Faites comme cela vous vient.

L’écriture libre

Rien ne peut mal tourner avec l’écriture libre. Cela consiste simplement à laisser votre esprit « vomir » toutes les idées au sujet de votre histoire sans ordre ni orientation précise.

Là encore, il faut faire confiance à l’anarchisme naturel de votre esprit créatif. Il vous surprendra sans doute en trouvant de lui-même des connexions auxquelles vous n’auriez jamais pensé de façon consciente.

Mon seul conseil concernant cette méthode est de prendre des notes sur des pages différentes selon si cela concerne l’intrigue, un personnage ou un lieu. Sinon, vous risquez vite de vous retrouver noyé sous vos propres notes.

La méthode flocon: pour préparer le premier jet de son roman
Image par Jill Wellington de Pixabay

2 — Concentrez-vous sur votre protagoniste

« Il y a de mauvaises histoires avec de bons personnages, mais il n’existe pas de bonne histoire avec de mauvais personnages. »

Je ne sais pas qui a dit cela, mais il avait raison.

Si vous voulez réussir la préparation du premier jet de votre roman, l’une des étapes inévitables et essentielles c’est la construction de votre personnage. De son caractère et de sa caractérisation.

Attention, il ne faut pas confondre caractère et caractérisation

La caractérisation, c’est ce à quoi pensent tous les auteurs débutants, c’est-à-dire à quoi leur personnage ressemble, les vêtements qu’ils portent, la couleur de leurs yeux, leurs manies et habitudes, etc. C’est la partie fun de la construction d’un personnage, mais c’est sans doute la moins importante.

(Lisez l’article : « Les 10 composants d’un personnage de roman »)

Le caractère, c’est la partie du développement de votre personnage qu’il ne faut pas louper, car c’est d’elle que va découler une bonne partie de votre histoire. Dans son guide « Story : écrire un scénario », Robert McKee résume en une phrase l’essence du caractère d’un personnage :

« Le caractère, c’est comment votre personnage réagit quand il est sous tension ».

Pour vous aider à développer cela, voilà deux étapes à ne pas oublier.

Choisir un but

Un but n’est pas seulement une chose que le protagoniste doit faire. C’est l’incarnation de son plus profond désir. Ce qui est important pour lui par-dessus tout. C’est ce qui va définir son caractère, orienter ses choix tout au long de votre histoire et qui est directement issu de son passé.

Par exemple, Harry Potter fera tout pour protéger Poudlard et Dumbledor des attaques de Voldemort (caractère), une mission qu’il prend très au sérieux depuis l’assassinat de ses parents par ce dernier (passé).

Le but de votre protagoniste sera la force qui va l’animer derrière chacun de ses choix, derrière chaque action qu’il va entreprendre pour contribuer à l’arc narratif de votre roman.

(Lisez l’article : « Comment construire un arc narratif »)

Développer un système de croyances

Le système de croyances et sans aucun doute la partie d’un personnage la moins visible dans un roman, mais cela ne veut pas dire qu’elle est moins importante. Bien au contraire.

Si vous voulez approfondir votre protagoniste et lui donner du relief, vous devez lui construire un système de croyances complexe et cohérent :

  • Comment ils se considèrent et considèrent les autres,

  • À quoi pensent-ils avoir droit,

  • Quelles sont leurs valeurs et sont-elles en accord avec les valeurs de leur environnement,

Répondre à ces questions va non seulement améliorer votre compréhension de votre personnage, mais aussi celle de votre intrigue. Le système de croyances de votre protagoniste peut vous donner d’excellentes idées de situations et de scènes pour augmenter la tension dans votre roman.

Au début du tout premier roman, Harry est un jeune garçon maltraité qui croit peu en lui-même et en ce qu’il peut faire. Son immersion dans Poudlard et les dangers auxquels il va faire face vont lui faire prendre conscience de ses capacités et de son potentiel.

Ne pas omettre l'arc de votre protagoniste
Image par mohamed Hassan de Pixabay

3 — Trouver un conflit

« Un roman sans conflit, c’est comme une pizza sans fromage. Ça se mange, mais c’est sans intérêt ».

Celle-là, elle est de moi 😉

Avec le but de votre protagoniste, le conflit est la deuxième chose la plus importante pour la préparation du premier jet d’un roman. C’est seulement si le protagoniste rencontre des obstacles sur la route vers son but que le lecteur trouvera un intérêt et du plaisir dans sa lecture.

Ces obstacles peuvent être physiques, incarnés par un antagoniste, une modification de l’environnement, etc. Il existe plusieurs types de conflits utilisables dans une histoire. Vous pouvez même les mélanger et les cumuler. Cependant, je suis de ceux qui pensent qu’il vaut mieux avoir UN conflit central et puissant quand on prépare le premier jet d’un roman et tout ce qui interviendra plus tard dans le cours de l’histoire devra concourir à résoudre ce conflit central.

(Lisez l’article : « Les 6 types de conflits dans une histoire »)

4 — Trouver un lieu qui convient

Il y a des histoires pour lesquelles le choix du lieu est une évidence. Si vous écrivez une romance historique entre un sénateur romain et une esclave numide dans l’antiquité, le choix de votre lieu fera partie intégrante de votre intrigue principale. Mais même si ce n’est pas le cas, le choix de votre lieu devrait faire l’objet d’une bonne dose de réflexion.

Que vous élaboriez un monde fictif et mystique de toute pièce ou que vous choisissiez un endroit réel, il est important de vous assurer que cet environnement va concourir à l’avancement de votre histoire.

Comment faire cela ? Voilà quelques suggestions.

Utilisez le lieu pour alimenter le conflit

Si vous hésitez entre plusieurs lieux, demandez-vous lequel va le plus alimenter le conflit central. Par exemple, si votre protagoniste est en proie à des conflits intérieurs, l’idéal sera une grande ville pleine de tentations et d’opportunités. Un petit village pourrait également fonctionner si vous l’utilisez pour placer votre protagoniste dans un environnement dans lequel il n’a pas l’habitude d’évoluer.

Quoi qu’il en soit, l’environnement ne doit jamais rendre les choses faciles au protagoniste. Si tout votre conflit est basé sur le fait que votre héros est seul et perdu, évitez de le placer à Disneyland pendant le week-end du 15 août avec un téléphone portable chargé.

Faites des recherches

Pour les romans de fantasy ou de science-fiction avec des environnements complexes et totalement fictifs, vous devrez trouver le juste milieu entre les faits reposants sur des bases scientifiques intéressantes et ceux reposants sur une logique propre au système que vous créez.

À part si vous écrivez de la Hard Science Fiction (qui tient parfois plus du manuel scolaire que de la fiction) vous pourrez intégrer une part d’originalité dans votre environnement. L’essentiel, comme toujours, étant de s’assurer de la cohérence de l’ensemble.

Si vous êtes en quête d’un modèle de worldbuilding pour construire votre monde imaginaire, vous pouvez en télécharger un gratuitement en cliquant ici .

Si votre choix se porte sur un lieu réel, et en particulier si vous ne les connaissez pas ou peu vous-même, prenez le temps de vous renseigner sur les conditions de vie de ces endroits. Vous n’avez pas besoin de les visiter tous. Utilisez les blogs, les réseaux sociaux et Google Earth pour construire une image qui paraisse vivante et convaincante aux yeux du lecteur.

Le lieu est le symbole de votre histoire
Image par Stefan Keller de Pixabay

5 — Décidez de la fin

Si vous avez déjà écrit le premier jet d’un roman, vous savez qu’il est facile de commencer une histoire, mais que la finir peut devenir un travail de titan. Parfois, on se perd en chemin, parfois on arrive dans un cul-de-sac sans aucune idée de comment en sortir. Pour l’avoir déjà vécu, je peux vous dire que c’est horriblement frustrant.

Pour éviter cela, vous pouvez partir de la fin de votre histoire et remonter le cours de son développement pour trouver une chaîne d’événements qui servira toute votre intrigue.

(Lisez l’article : « Comment finir une histoire : 6 astuces pour une fin idéale »)

Suivez l’arc du personnage

Si vous rencontrez des difficultés à trouver la fin de votre roman, suivez l’arc de votre protagoniste pour vous aider.

Comme pour votre intrigue, votre personnage suit un arc (comme l’arc narratif de votre intrigue) selon lequel il va se développer et se transformer. Si vous voulez qu’il ait de la profondeur, votre protagoniste ne doit pas être strictement le même entre le début et la fin de son histoire. Les événements qu’il va subir l’auront changé en bien ou en mal.

Par conséquent, si vous savez quelle transformation votre protagoniste va subir, vous êtes mieux placés pour inventer la série d’actions et de révélations qui va provoquer cette transformation.

Par exemple, un protagoniste effondré par un deuil en début de roman pourra s’ouvrir à nouveau aux autres et reprendre le cours de sa vie au fil des rencontres et des expériences qu’il fera au cours de votre récit.

6 — Déterminez le style et la structure de votre roman

Voilà un point qui peut vous faire gagner un temps phé-no-mé-nal pour la suite de la phase d’écriture. Déterminer le style et la structure AVANT l’écriture du premier jet de votre roman vous évitera de commettre de grosses erreurs qui vous obligeront à réécrire des chapitres entiers de votre livre.

Réfléchir à ce point en amont et faire preuve de consistance lors de l’écriture de votre premier jet sont deux éléments à ne pas sous-estimer.

Le point de vue

La plupart des auteurs choisissent la première ou la troisième personne d’un point de vue limité.

La première personne donne un accès direct aux pensées et aux états d’âme de votre protagoniste, mais cela peut parfois poser problème quand vous voulez que le lecteur soit témoin d’une scène alors que votre protagoniste est absent.

En revanche la troisième personne limitée est moins impliquant pour le lecteur, mais vous permet d’explorer des horizons plus larges et d’augmenter vos possibilités narratives. Vous avez accès à plus d’information et vous pouvez en faire part au lecteur, mais votre protagoniste reste votre guide et vous devez continuer à le suivre. Seuls les pensées et états d’âme du héros vous sont accessibles, mais vous pouvez les traiter avec plus de distance.

Une façon plus libre de gérer le point de vue est d’utiliser la troisième personne omnisciente. Dans ce 3e cas de figure, vous êtes Dieu (pour mégalo seulement;) ). Cela signifie que vous pouvez vous déplacer d’un endroit à un autre, d’une époque à une autre et du point de vue d’un personnage à un autre en toute liberté.

La chronologie

La plupart des histoires suivent une chronologie linéaire, mais ce n’est pas une obligation. Vous pouvez non seulement passer du point de vue d’un personnage à un autre, mais vous pouvez également faire des sauts dans le futur et le passé.

C’est généralement un bon stimulant pour les suspens, mais cela requiert une maîtrise technique qui demande beaucoup de travail.

Présent ou passé

La plupart des romans utilisent le passé simple, car c’est le temps de la narration, mais cela ne veut pas dire que c’est votre seule option.

L’emploi du présent donne un effet d’immédiateté et de proximité au lecteur. Il est beaucoup plus facile pour lui de se projeter dans une histoire qui se passe maintenant.

Hormis le concept original de Hunger Games, j’ai toujours été persuadé que l’emploi du présent par Suzanne Collins avait joué dans le succès de la série. C’est d’autant plus remarquable que le choix du présent est très rare dans les romans de Fantasy ou Dystopie.

Quel que soit votre choix, faites-le et tenez-vous à ce choix. Croyez-moi, vous ne voulez pas être celui qui change le temps de plusieurs chapitres d’un roman… voire d’un roman entier.

7 — Décidez quand vous devez commencer à écrire.

Certains préfèrent commencer avec un plan précis scène par scène quand d’autres veulent découvrir leur propre histoire au fur et à mesure qu’ils l’écrivent. C’est l’éternel dilemme entre les architectes et les jardiniers.

Cette question dépend entièrement de votre façon de travailler. J’ai déjà échangé avec de très nombreux auteurs, et je n’ai encore jamais rencontré un auteur qui soit 100 % architecte ou 100 % jardinier. Tous étaient quelque part entre les deux. C’est à vous de déterminer où vous voulez placer le curseur.

Cependant, avant de vous lancer dans le premier jet de votre roman, je pense que vous devez disposer à minima des trois éléments suivants :

– Un arc narratif clair avec un début, un milieu et une fin,

– Un caractère solide de votre protagoniste et de votre antagoniste,

– Un lieu conforme à votre histoire,

Il s’agit des éléments qui ne cesseront de revenir encore et encore pendant toute la durée de votre phase d’écriture. Vous voulez donc avoir une base solide pour pouvoir construire dessus… sauf si vous voulez devoir tout réécrire plusieurs fois.

Trouver le bon réglage pour commencer à écrire son roman
Image par IADE-Michoko de Pixabay

Je vais être honnête, ces 7 conseils ne vous éviteront pas la traditionnelle phase de correction longue comme un jour sans pain que tout le monde adore. Après tout, il ne faut pas oublier que le premier jet d’un roman n’est jamais, JAMAIS, la version définitive de votre livre.

(Lisez l’article : « 12 clés pour corriger son roman (et aimer ça) »)

Certains corrigent au fur et à mesure, d’autres attendent que le premier jet soit achevé pour s’y mettre, mais cela revient au même. Cars si chaque auteur a sa propre façon de travailler, il existe un principe qui est vrai pour tous, que vous vous appeliez Stephen King, Guillaume Musso ou Jean-Pierre Tartempion : Le premier jet d’un roman est toujours mauvais.

Maintenant c’est à vous. À quel moment commencez-vous à écrire votre premier jet ? Avez-vous besoin d’un plan très précis ou d’un squelette à peine ébauché ? Tracez-vous un plan pour mieux changer en cours de route ou bien êtes-vous précis dans le suivi de votre intrigue ?

Dites-le-moi dans les commentaires.


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3 réponses

  1. Le « premier jet de mon premier jet » a été un scénario. On pouvait donc dire que quand je suis passé à la rédaction de l’histoire sous forme de roman, j’avais déjà mon plan tout tracé. Je l’ai respecté dans l’ensemble, j’ai juste rajouté une scène à la fin.

    Pour le second, je suis passé directement à l’étape « roman », j’avais le début et la fin, et une idée du déroulement de l’intrigue. Je savais aussi quels thèmes j’allais aborder en gros.

    Et puis après mon premier roman, que je considérais vraiment comme un « one-shot » sont venues des idées pour deux suites. Pour chacune des deux je connaissais le début et la fin avant de commencer la rédaction. Le premier jet de l’épisode 2 est fini, et j’ai été assez surpris de constater que globalement le plan a été respecté une nouvelle fois, avec l’intervention de quelques personnages qui m’ont surpris en cours de route, alors que pensais ne rien avoir de particulier à leur faire faire.

    J’ai commencé la partie 3 doucement (10-15% ?). Ca avance à vitesse d’escargot asthmatique, je ne sais pas encore ce que vont donner les parties intermédiaires mais la fin est fermement décidée depuis des mois.

  2. Merci pour les conseils… que j’aurais aimé lire avant la rédaction de mon premier roman! Les corrections ont été un véritable chemin de croix. Pour mon tome 2, j’ai choisi de corriger au fur et à mesure durant les phases où j’avais moins d’inspiration. Cela fonctionne mieux pour moi et me libère de ces moments de frustration où je bloque sur une scène sans trouver de solution satisfaisante immédiatement.
    « Croyez-moi, vous ne voulez pas être celui qui change le temps de plusieurs chapitres d’un roman… voire d’un roman entier. »
    Témoignage d’une fourmi besogneuse: si j’avais mieux réfléchi dès le départ, je n’aurais pas eu à transposer 200 000 mots (soit l’intégralité de mes deux tomes) du passé au présent. ^^
    J’attaque le tome final pendant que mes bêtalecteurs travaillent. J’ai tenté votre méthode de mindmapping (que je connaissais mais que je n’avais jamais utilisé rigoureusement pour écrire) sans trop y croire et organisé mon plan en une journée: un record! Même si une partie du travaille était déjà faite (puisque c’est une suite), j’avais le trac de la résolution. C’est fini!

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